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C'est toi le phoenix
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17 août 2020

Je diminue et je choisis mes médicaments

Bonjour cher Phoenix !

Aujourd’hui je vais vous parler de médicaments.

****

Avertissement : cet article n’a PAS pour objectif de vous faire arrêter vos médicaments, mais plutôt de vous faire réfléchir à leur utilité pour vous.

Certains médicaments vous aident peut-être, certains sont peut-être indispensables à votre survie. Il est donc inenvisageable de les arrêter bêtement, sans réfléchir.

Mais sachez-le, beaucoup sont inutiles et/ou dangereux.

Vous ne devriez pas prendre un médicament "parce qu’on vous a dit de le prendre". Vous devriez toujours connaître ses risques, et faire le choix délibéré de le prendre malgré les risques, uniquement parce que son utilité POUR VOUS vaut largement les risques.

Par contre, avant d’envisager tout arrêt, surtout, demandez l’avis d’un ou plusieurs professionnel(s) de santé. Certains médicaments ne s’arrêtent pas « comme ça » (faut-il les arrêter tous ensemble ou  l’un après l’autre ? Dans quel ordre ? D’un seul coup ou progressivement ? Réduire la durée ou la dose ? etc.)

Une fois que vous aurez validé les médicaments qui sont suffisamment utiles pour vous et que vous devez continuer, ne les consommez JAMAIS sous forme générique (voir l'article). Certains sont vraiment dangereux. Mais revenons à nos moutons : Avant de parler des génériques, le premier sujet à aborder est d’abord le tri entre les médicaments utiles et inutiles.


Avant d’entrer dans le vif du sujet, rappel indispensable : vous devez consulter des professionnels de santé qui vous correspondent, et en qui vous avez confiance. Si votre médecin, par exemple, prescrit trop de médicaments à votre goût, alors il faut peut-être envisager d’en changer  => voir l’article sur comment choisir son professionnel de santé.


INTRO


Pendant de nombreuses années  j’ai cru aveuglément à la science et aux médicaments. Pour ma maladie de peau, j’ai pris des tonnes de médicaments, dont certains extrêmement nocifs qui ont peut-être contribué à la dégradation de mon état de santé de ces dernières années…  

La première fois que j’ai commencé à m’interroger sur ce sujet, c’est quand mon bébé a « fait ses dents ». Je m’apprêtais à lui administrer sans réfléchir un de ces médicaments qu’on voit dans les pubs, et la personne qui était à côté de moi (qui avait lui-aussi un bébé) m’a dit d’un air choqué : « Quoi ? Tu lui donnes ça, mais t’as vu la liste des effets secondaires ??? ». Le pire c’est que je lisais consciencieusement les notices de tous mes médicaments. Je les lisais, mais je n’en tirais aucune conclusion. Alors qu’il est évident que le choix entre soulager un mal de dent et risquer une complication grave voire un arrêt cardiaque de mon bébé, bien entendu, aurait dû m’inciter à la prudence.

Alors premier conseil : lisez bien les notices, et surtout, surtout, prenez les risques en considération. Les risques existent. Et en plus, les risques listés dans les notices sont loin d’être les seuls risques des médicaments. Ceux-là, ceux qui sont listés, sont ceux dont on a pu prouver qu’ils sont directement corrélés, et dans la majorité des cas uniquement ceux qui sont apparus rapidement après la prise du médicament. Les effets destructeurs que certains médicaments ont sur les autres organes que celui traité, les risques accrus de cancers, ainsi que tout ce qu’on ne sait pas encore, tout ça ne figure pas sur les notices, et pourtant les risques sont bien réels.

Un médicament ne devrait jamais être pris à la légère.

Si vous devez le prendre, oui, bien entendu, prenez-le. Mais pesez bien le pour et le contre.

*

Voilà comment va se présenter mon article :

- Etude rapide de 4 catégories de médicaments (antalgiques, anti-inflammatoires, antibiotiques, et pour l’actualité : gel hydroalcoolique)

- Un paragraphe généraliste sur les autres médicaments et en particulier les médicaments courants et ceux administrés aux enfants

- La contraception aux hormones

- La Chimiothérapie et le traitement aux hormones des cancers

- Comment vivre sans médicaments

Je ne vais donc pas traiter de tous les médicaments, très loin de là ! La liste des médicaments qui existent est trop immense pour que je puisse en faire le tour. Contrairement à d'autres articles, ici je ne cherche pas l'exactitude et l'exhaustivité, car à l'intérieur même d'une catégorie de médicaments, on pourra en trouver des relativement inoffensifs et d'autres complètement destructeurs... Mon article vise donc plutôt à vous donner des exemples de risques pour vous faire réfléchir, et vous montrer où chercher. Relisez-donc dès maintenant la notice de tous vos médicaments (si vous ne les avez plus, demandez-les à votre pharmacie ou cherchez-les sur Internet), n’hésitez pas à vous renseigner aussi sur Internet concernant VOS médicaments. Ne restez pas dans l’ignorance, et si certains de vos médicaments ne sont pas indispensables, ne vous laissez plus empoisonner !  


LES ANTALGIQUES (= Médicaments contre la douleur. Exemples : Doliprane, Efferalgan…)


A petite dose, ils sont considérés comme les médicaments les moins dangereux. Ce sont d’ailleurs les seuls médicaments que l’on autorise pour les bébés et les femmes enceintes. (D’ailleurs cela devrait vous alerter sur le niveau de toxicité de tous les autres médicaments...)

Sachez que la communauté scientifique commence à se poser des questions même sur cette catégorie de médicaments !

On s’interroge par exemple sur le fait de masquer la douleur : est-ce que ça n’empêcherait pas le corps de la ressentir et donc d’intervenir pour guérir ? Est-ce que la prise trop longue n’induirait pas une trop forte dépendance et une diminution de la sensibilité au médicament, amenant à devoir prendre de plus fortes doses ? Bref, des interrogations sont en cours.

Dans tous les cas, sachez que pour les médicaments anti-douleur à base de paracétamol, la dose maximale conseillée est de 4 grammes par jour. A partir de 6 grammes les effets peuvent être très graves. Bien évidemment les médicaments plus forts ont d’autres dangers, plus un médicament est fort plus il est dangereux.

Le conseil concernant ces médicaments, donc, est surtout de ne pas en abuser.


ANTI-INFLAMMATOIRES NON STEROIDIENS (Exemples : Ibuprofène, Ketoprofène, Diclofenac comme Voltarène…)


Sources principales de ce paragraphe : Santé magasine et santé.journal des femmes. Mais vous n'aurez pas de mal à trouver ces informations sur d'autres sites, la plupart des dangers des anti-inflammatoires étant reconnus maintenant. 

L’agence du médicament ne cesse de mettre en avant les dangers de cette classe de médicaments. Premièrement il faut savoir que si le corps déclenche une inflammation, c’est intentionnel. L’inflammation a de nombreuses fonctions bénéfiques pour la guérison. Supprimer l’inflammation, c’est ralentir la guérison (sans parler des effets néfastes que nous verrons juste après). Cela veut-il dire qu’il ne faut jamais en prendre ? NON bien entendu. Si l’inflammation provoque une grosseur qui risque d’écraser un organe ou de bloquer une circulation d’air ou de sang, par exemple, il est indispensable d’intervenir. Si l’inflammation empire l’état du malade il est évident qu’il faut intervenir (exemple le plus courant : l’inflammation des bronches fait tousser, et en toussant on s’endommage des bronches, si on n’arrête pas le processus c’est un cercle vicieux).

Le problème c’est que certains anti-inflammatoires, en plus d'empêcher l'action réparatrice du corps, augmentent les risques de développer des problèmes cardio-vasculaires graves. Quasiment tous présentent le risque d’aggraver les infections de façon suffisamment graves pour entraîner parfois des hospitalisations, allant parfois jusqu’au décès, sur des maladies habituellement bénignes. Les personnes qui prennent des anti-inflammatoires ont été considérés par l’OMS comme étant particulièrement à risque d’attraper et de développer une forme grave de Covid-19. Pourquoi ? Parce que ces médicaments abaissent le système immunitaire. Les anti-inflammatoires, sont, de plus, connus pour attaquer l’estomac et provoquer brulures d’estomac et ulcères, perforations ou hémorragies gastriques. Pour contrer cela, souvent le médecin prescrit également un protecteur gastrique, mais les effets de ces derniers ne sont pas anodins non plus ! Les anti-inflammatoires perturbent également le système hormonal des hommes.  Enfin, cela n’est pas souvent mentionné car peu connu pour l’instant, mais il est prouvé maintenant que les anti-inflammatoires détruisent l’intestin (voir ce site par exemple, j'aimerais en trouver d'autres mais je trouve peu d'informations écrites sur ce sujet alors que j'en ai entendu parler de nombreuses fois)... Et pourtant, paradoxalement, par ignorance, on soigne les rectocolites hémorragiques, maladies de Crohn et autres, avec ce type de médicaments, mais cela ne soigne pas ! Cela soulage temporairement puis détruit encore plus au final !

Tous ces risques ne sont pas à prendre à la légère ! On croit que ce sont des médicaments anodins, mais loin de là !!! 

On ne devrait jamais avoir ce type de médicaments chez nous, et on ne devrait jamais les prendre en auto-médication. Seul un médecin devrait pouvoir nous les prescrire, sur une très courte période, jamais 2 en même temps, et avec l’instruction d’arrêter le traitement dès la disparition des symptômes.


ANTI-INFLAMMATOIRES STEROIDIENS  (cortisone, corticoïdes)


Il existe 2 types d’anti-inflammatoires, nous venons d’étudier le cas des anti-inflammatoires non stéroïdiens, voyons maintenant les anti-inflammatoires stéroïdiens. Là évidemment, c’est encore pire que ci-dessus, et c’est déjà bien connu du public.

Si vous avez une maladie de peau, il peut être très tentant de vous soulager par la prise de corticoïdes, mais franchement, vous empirez votre état à long terme, croyez-en mon expérience. Parmi les effets secondaires connus des corticoïdes locaux vous retrouvez l’eczema, les brulures et divers autres problèmes de peau !!! C’est quand-même un comble ! On vous traite pour un problème et le traitement que vous prenez aggrave ce problème ! (un peu comme quand on soigne les malades de l’intestin avec les médicaments cités juste au-dessus…)

Ma principale source concernant ce paragraphe est celle-là, car je l'ai trouvée bien complète. En sachant que vous pouvez aussi trouver d'autres informations un peu partout. Ce sujet est connu.

En ce qui concerne la cortisone, sachez que les effets indésirables sont très fréquents puisqu’ils apparaissent dans 60 à 80% des cas !!!!!

En vrac je vais vous citer ceux-ci (je vous laisse lire les articles pour plus de détails) :

Un traitement par corticoïde augmente la sensation de faim (« hyperphagie »), induit fréquemment une prise de poids, de la rétention d'eau et de sel, des douleurs ou des crampes au niveau de l'estomac, ou des régurgitations acides, rarement un risque de complication plus sévère de type ulcère de l'estomac, pancréatite ou infection des diverticules du colon. Il peut provoquer également des modifications du cycle menstruel, une diminution de la libido, des troubles de l'érection, une modification de l'humeur, des insomnies, de l’anxiété ou irritabilité, des troubles modérés de la mémoire, des difficultés de concentration, des tremblements des mains. Dans de très rares cas, les troubles peuvent être plus sévères (dépression ou délires, euphorie marquée). 

Voilà pour les effets à court terme. Et à long terme ?

Les effets indésirables à long terme sont le diabète, l’hypertension artérielle, une ostéoporose, une ostéonécrose aseptique, une fonte musculaire, un glaucome, une cataracte, une atrophie cutanée et une augmentation des risques d’infections. Vous aurez aussi une fragilité de la peau avec notamment des vergetures, des ecchymoses, une sécheresse de la peau et des difficultés pour cicatriser et une dépigmentation. Il existe également une augmentation de la pilosité. Il y a aussi des modifications corporelles comme un arrondissement du visage, une bosse au niveau de la nuque, une augmentation du tour de taille. Les corticoïdes provoquent aussi une faiblesse musculaire qui peut devenir gênante pour les gestes de la vie quotidienne, ils réduisent les défenses immunitaires (et c'est d'ailleurs grâce à cette propriété qu'ils sont supposés traiter un certain nombre de maladies auto-immunes). Dans certains cas, ils génèrent aussi l'insuffisance de sécrétion de cortisol par les glandes surrénales. Ils peuvent aussi générer une diminution du taux de potassium dans le sang, une augmentation des taux sanguins de cholestérol et les triglycérides (cela peut augmenter le risque de maladie cardio-vasculaire à long terme), une modification de la voix et une perte de cheveux.

Rien que ça ! 

Et vous ? Vous en prenez, des anti-inflammatoires ? Moi perso j’ai arrêté. J’ai souffert pendant 4 mois quand j’ai arrêté, c'est vrai... mais j’ai arrêté quand-même, et maintenant je ne souffre plus, je n’en ai plus besoin car ils ont arrêté de me détruire.

Si vous pensez devoir arrêter, demandez l'avis d'un professionnel de santé quand-même, au cas où : comme je vous l'ai dit, malgré leurs risques ils peuvent parfois être utiles. 


ANTIBIOTIQUES


 « les antibiotiques, c’est pas automatique » !

Vous connaissez bien ce message de santé publique relayé par le gouvernement, et tant mieux ! Voilà un message utile !

Voilà ma principale source concernant ce paragraphe. En même temps, sur ce sujet c'est pareil, vous n'aurez pas de mal à trouver les infos partout, le sujet est en vogue depuis plusieurs années.

Peu importe si vous mettez 1 semaine à guérir d’un rhume et non 2 jours, il ne FAUT PAS prendre d’antibiotiques pour une infection virale (sauf cas particuliers rares), et même, si jamais vous pouvez l'éviter, pour une infection bactérienne (mais ça, ce sera avec l'accord de votre professionnel de santé).

Faisons un très petit cours d’étymologie : Anti-bio-tique = tuer la vie. Le but d'un antibiotique  c'est de TUER : il tue toute votre population bactérienne. Donc toute votre protection immunitaire, toute votre flore buccale et vaginale et toutes vos capacités à digérer (et donc à fonctionner correctement). Vous développerez donc les effets secondaires suivants : troubles intestinaux (vomissements, ballonnements, diarrhées…), une grande fatigue, des mycoses de la bouche et du vagin… Sans parler des effets à long terme sur la fragilisation de votre intestin, qui a pourtant un rôle énorme, comme vous pouvez le lire partout sur ce site, de protection contre toutes les maladies auto-immunes, dégénératives et toutes les allergies et problèmes de peau ainsi qu'un rôle prépondérant dans le système immunitaire… Le nombre de bactéries abrité par notre intestin grèle est supérieur au nombre total de nos cellules !!! C'est juste ENORME !!! Et elles ont des rôles primordiaux dans notre santé. La stabilité de leur nombre et de leur répartition conditionne directement notre état de santé. L'enjeu est vraiment énorme, beaucoup plus important que nous ne le pensions il y a encore quelques années. Certaines personnes pensent que même un seul traitement par antibiotique suffit pour déséquilibrer gravement cette flore intestinale et causer des dégâts irréversibles. Je ne sais pas si c'est vrai à ce point, mais une chose est sûre, il faut y recourir le moins possible ! S'il n'y a pas de danger vital, il faut éviter au maximum d'y recourir ! 

De plus, les antibiotiques génèrent la résistance bactérienne, cela signifie que les microbes deviennent de plus en plus résistants, de plus en plus féroces.

Il faut laisser notre corps s’occuper lui-même des microbes inoffensifs : il peut le faire, il est fait pour cela, et il le fait très bien !

De toute façon, les antibiotiques sont souvent inefficaces contre les virus... et à cause de la résistance bactérienne, deviennent de moins en moins efficaces contre les bactéries aussi...


ANTI-BACTERIENS ET ANTI-VIRAUX (Exemple : LE GEL HYDROALCOOLIQUE)


C’est d’actualité, je pense donc qu’il faut aborder le sujet : le Tricosan et le Triclocarban sont des perturbateurs endocriniens susceptibles de provoquer des cancers du sein, d’altérer les spermatozoïdes et d’entraîner des dérèglements hormonaux. Les femmes enceintes qui entrent en contact avec ces substances prennent notamment le risque d’affecter le développement de leur enfant. Aux Etat-Unis ces substances sont interdites depuis 2016, cependant, en France elles sont autorisées et entrent dans la composition de certains gels hydroalcooliques. Sources :  et )

Par conséquent : vérifiez bien la composition du vôtre.

N'oubliez pas, également, que les gels hydroalcooliques agressent votre peau et ne nettoient pas ! De plus, il est évident que cette surabondance de désinfection entraîne une résistance bactérienne et virale aggravée ! Pensez donc, à chaque fois que c'est possible, à vous laver les mains à l'eau et au savon plutôt qu'à utiliser du gel hydroalcoolique, c'est quand-même nettement mieux pour vous !

 

 


AUTRES MEDICAMENTS


Je vais arrêter là pour les médicaments (hors contraception aux hormones et chimiothérapie, voir après).

La liste des médicaments qui existent est trop immense pour que je puisse en faire le tour. Je ne suis pas médecin et je ne suis pas atteinte par toutes les maladies du monde (!), je n’ai donc probablement pas les connaissances suffisantes pour vous alerter sur tous les types de médicaments, alors même que je ne connais pas les maladies qu’ils traitent.

Mais en ayant lu ces paragraphes, je pense que vous avez saisi l'idée générale. Concernant vos médicaments, faites ce que j'ai fait : cherchez ! Ne restez pas comme ça, dans l'ignorance, à peut-être prendre quelque chose qui vous empoisonne, peut-être pour un confort provisoire, mais qui vous tue en réalité à petit feu.

Je voudrais quand-même attirer votre attention sur cette liste des médicaments couramment donnés aux enfants qui sont pourtant très dangereux : https://www.comment-economiser.fr/liste-noire-39-medicaments-dangereux-pour-enfants.html

Sur cette liste les sirops pour la toux dangereux https://www.sciencesetavenir.fr/sante/sirop-contre-la-toux-60-millions-de-consommateurs-les-jettent-tous_20028

Sur cette liste les médicaments plus dangereux qu’utiles, classés par maladies : http://www.psychomedia.qc.ca/medicaments/2019-11-29/liste-2020-105-medicaments-plus-dangereux-qu-utiles-avis-prescrire

Au sujet des médicaments anti-diarrhéiques et anti-vomitifs, je comprends leur utilité bien évidemment, cependant posez-vous une question : si votre corps met autant d’énergie à vouloir expulser quelque chose, pourquoi vouloir absolument l’en empêcher et garder à l'intérieur de vous des choses qui vous empoisonnent ?? Si vous le pouvez (par exemple si vous êtes en arrêt, chez vous), surtout, laissez faire votre corps, vous n’en guérirez que plus rapidement.

Et je vous encourage à lire les notices de tous vos médicaments, à tenir compte des risques indiqués car ils existent, et à chercher encore plus d’informations sur Internet.


LA CONTRACEPTION AUX HORMONES


Maintenant nous allons passer à deux autres sujets qui me semblent encore plus dangereux... Et pourtant que beaucoup de gens ignorent ou sous-estiment : la contraception aux hormones, et les traitements contre le cancer à base de chimiothérapie et hormones.

Savez-vous comment fonctionne une pilule contraceptive (ou patch, ou anneau vaginal, ou stérilet aux hormones) ? Le principe est d'administrer des hormones de synthèse de manière à faire "croire" au cerveau qu’on est déjà enceinte. L’ovulation s’arrête et la muqueuse utérine se modifie, ce qui empêche la nidation. La contraception hormonale rend de fiers services aux femmes, ça c'est sûr ! Mais il y a un prix à payer : la prise de doses massives d’hormones n’est pas sans conséquences sur votre santé, loin de là !

Pour ce paragraphe je m'inspire de cet article de santémagasine, de cet article de santé.lefigaro, de cet article de e-cancer, et surtout de cet article de Thierry Souccar

Tous les contraceptifs œstroprogestatifs ont les mêmes avantages et inconvénients. Ils sont accusés d’augmenter le risque de thrombose, de certains cancers et de surpoids.

Il y a maintenant plus de 20 ans que le Pr Henri Joyeux, cancérologue, alerte sur les dangers de la pilule. Depuis, un grand nombre d’études ont prouvé ces dangers.

L’agence internationale de la recherche sur le cancer (IARC) considère ces médicaments comme cancérigènes chez l’Homme. En effet, un certain nombre de tumeurs ont une croissance régulée par la présence d’hormones. Selon une expertise du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) menée en 2005 et actualisée en 2012, les pilules combinées entraîneraient  une légère hausse du risque de cancers du sein, du col de l’utérus et du foie. La pilule microprogestative également.

Le ministère de la Santé a choisi de dérembourser les pilules de troisième génération, en raison d'un risque accru de phlébite et d'embolie pulmonaire. 

Les autres effets secondaires (moins graves) possibles sont une baisse de la libido, une baisse de l’humeur, une hausse de poids, une augmentation des maux de tête et des ballonnements.

Une modification des facteurs de coagulation sanguine engendrée par les hormones synthétiques peut provoquer la formation d’un caillot sanguin qui peut boucher un vaisseau et asphyxier un organe (infarctus quand il s’agit du cœur, AVC quand il s’agit du cerveau), on parle de thrombose. Chaque année en France, douze femmes décèdent d’un infarctus ou d’un AVC lié à leur contraception. Cela représente 2 % des accidents thrombo-emboliques dus à la pilule, aux anneaux ou aux patchs à base d’œstrogènes. (c'est encore pire pour ceux de 3e génération : ils présentent un risque deux fois plus important)

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) indique que ces médicaments provoquent chaque année « en moyenne » 2.529 accidents thromboemboliques veineux et « 20 décès prématurés », dont 14 sont « attribuables » aux pilules de 3ème et 4ème génération.

*

Les Françaises sont parmi les plus grandes consommatrices de pilule au monde, mais malgré les pressions que peuvent exercer sur nous certains gynécologues, sachez que la pilule n'est PAS la seule contraception possible ! Si vous l’ignorez, sachez qu’il existe d’autres moyens de contraception (stérilet au cuivre, préservatif…) aussi efficaces voire plus, et qui sont, eux, inoffensifs ! y compris pour les femmes qui n'ont pas encore eu d'enfants ! 

 


LA CHIMIOTHERAPIE ET LE TRAITEMENT DES CANCERS AUX HORMONES


Si vous êtes touché par le cancer, j’en suis désolée pour vous.

Sachez que je ne vais pas, dans cet article, rentrer dans le débat. Je ne vais pas vous inciter à suivre ou à ne pas suivre de chimiothérapie et de traitements aux hormones. Ce débat divise toute la communauté scientifique, je ne vais donc pas prétendre avoir la réponse !

Cependant, au cas où vous l’ignoriez, sachez qu'une bonne partie des scientifiques (la moitié environ) estime qu’une chimiothérapie tue plus de personnes que le cancer lui-même, sans parler des conditions de vie abominables qu’elle vous fait endurer pendant une longue durée. La chimiothérapie ne vous assure pas la guérison, loin de là. Elle détruit énormément de vos fonctions vitales et organes, dans un but louable bien entendu, si jamais vous en guérissez… Mais parfois elle vous tue plus vite. Ce traitement fait peur à tout le monde et avec raison. Les médicaments de chimio sont des très hauts toxiques. Leur but est d'empêcher la multiplication des cellules cancéreuses ou de provoquer leur apoptose... Le problème est qu'elles ne ciblent pas bien ces cellules et en tuent beaucoup d'autres au passage. De plus, 30% de ces médicaments sont administrés par voie orale et abiment le foie et le système digestif, qui doivent traiter des charges toxiques très hautes. Les traitements hormonaux et antihormonaux quant à eux, bouleversent tous les équilibres du corps... Tellement de choses sont régulés par les hormones, dans notre corps... On assiste avec ce type de traitement à des atteintes hématologiques, des anémies, des effets sur l'appareil digestif, des problèmes neurologiques, des problèmes urinaires, des atteintes de la peau et des phanères... Dans le temps, les effets dus à la chimio peuvent être une insuffisance hépatique, des problèmes cardiaques, une insuffisance rénale ou pulmonaire, une fibrose des poumons, la stérilité. Et bien entendu, des leucémies ou lymphomes.

Mais le cancer tue aussi. Je comprends donc très bien le choix de tenter quand-même la chimiothérapie, le traitement aux hormones et tous les traitements associés… Tenter le traitement au cas où ça marche, pour avoir l’impression de faire quelque chose. Surtout que l'autre moitié des scientifiques estime qu'il y a une chance pour que ça marche... Et parfois, ça réussit… Alors peut-être que ça vaut le coup ? Peut-être pensez-vous que vous n'avez pas le pouvoir de guérir si vous ne "faites rien", que les méthodes "douces" ça ne suffira pas. En plus, selon le cancer, la rapidité de multiplication des cellules cancéreuses est telle qu'il y a urgence, dès lors les méthodes "douces" ne seraient-elles pas trop lentes ? Si la chimiothérapie et les traitements hormonaux fonctionnent, s'ils vous guérissent, peut-être que ça vaut le coup malgré les risques. 

C’est à vous de voir, le choix est difficile c'est sûr, mais sachez en tout cas que ce choix, vous l’avez VRAIMENT. Ne laissez pas quelqu'un vous imposer la décision, c'est à VOUS de choisir.

* Si vous choisissez la chimiothérapie, je vous précise que tous les conseils de ce site pourront vous aider à supporter les effets de vos traitements. C'est en tout cas ce qu'indiquent notamment Isabelle Pion, auteure de Accompagner la chimiothérapie grace aux méthodes naturelles, Yann Rougier, auteur de Se programmer pour guérir : de nouvelles réponses pratiques face au cancer, et Jean Seignalet, auteur de L’alimentation ou la troisième médecine. Le nombre de chances que les traitements fonctionnent, également, seront augmentés si vous améliorez votre mode de vie. Donnez-vous les meilleurs chances de réussite.

* Si vous choisissez de ne pas prendre de chimiothérapie pour ne pas vous empoisonner davantage, appliquez le plus possible des conseils de ce site. Je vous mets aussi, au cas où ça vous intéresse, le lien vers 2 vidéos sur le cancer du naturopathe Thierry casasnovas. Bien sûr, je suis au courant qu’il est controversé, il est critiqué pour les positions extrémistes qu’il avait avant 2016 et ses raisonnements parfois trop simplistes pour traiter des problèmes complexes. Néanmoins, même si je comprends certaines critiques à son sujet, il a quand-même sur de nombreux sujets de très bons raisonnements, il a compilé un énorme travail de recherches, et surtout, il a quand-même de très bons résultats sur ses patients. Alors je pense que vous pourriez trouver des choses utiles, intéressantes et encourageantes dans cette série de vidéos. A-t-il raison sur tout ? Je l’ignore, mais moi, pour avoir guéri de plusieurs troubles soi-disant incurables grace à des méthodes qui ressemblent beaucoup à tout ce qu'il prône, je crois qu'il a raison sur beaucoup de choses. Prenez tout le bon de ses vidéos, et s'il y a quelques petits points qui vous chiffonnent, laissez tomber ces détails loufoques.

Vidéo n°1 (la théorie)

Vidéo n°2 (la pratique)


COMMENT VIVRE SANS MEDICAMENTS ?


Vivre sans médicaments n'est pas le but de cet article. 

Peut-être ne le pouvez-vous pas d'ailleurs. 

Mais après ce topo, vous vous demandez peut-être comment vivre avec beaucoup moins de médicaments, c'est peut-être ce que vous souhaitez tenter...? Et pourquoi pas ? 

Première partie de réponse : il y a des tas de médicaments "de confort" : les médicaments pour la toux, anti-diarrhée, pour le mal de tête, etc. Il y a des médicaments qui prétendent vous guérir plus rapidement d'un rhume (que ce soit vrai ou pas). Tous ceux-là, on peut s'en passer facilement. Si vous voulez quand-même une aide ponctuelle, il existe des tonnes d'astuces sur Internet et dans les livres sur les "remèdes de grands-mères", pour soulager les "petits bobos" et légers désagréments. Mais le mieux, bien sûr, c'est en premier lieu le repos (voir mon article sur ce qui se passe dans notre corps quand on se repose, et l'article sur l'équilibre action/repos). Choisir des aliments riche en nutriments tant que vous ne vous sentez pas bien, au lieu des manger des "cochoneries", bien entendu, vous aidera énormément (légumes, jus de légumes...). Mais surtout, aussi étonnant que cela puisse nous paraître à nous qui sommes habitués à tout le temps manger, jeûner sur de très courtes périodes pour reposer notre organisme et booster ses capacités de guérison.

Deuxième partie de réponse : En cas de maladie ou de troubles plus importants, sachez que certains médecins sont sensibilisés à tout ça (c'est surtout vrai pour la jeune génération, mais vous pouvez bien sûr également trouver de très bons médecins de la génération-médicaments qui sont devenus sensibles à ce sujet, et à l'inverse, des jeunes médecins pro-médicaments). Votre médecin peut donc peut-être vous conseiller. N'hésitez pas à lui demander conseil. Les naturopathes également peuvent vous aider, ainsi que pas mal de praticiens en médecine douce (acuponcture, ostéopathie, etc.) Toutes ces médecines peuvent guérir une quantité incroyable de maladies, et ce, sans les effets dévastateurs des médicaments chimiques. => Lien vers l'article comment choisir un professionnel de santé


 

Voilà, je vous laisse ici pour ce sujet sensible qu'est le sujet de l'inocuité des médicaments. 

Prochain article : les médicaments génériques. Une fois votre sélection faite, une fois que vous aurez très sérieusement réduit le nombre de médicaments à utiliser, surtout, ne vous laissez pas abuser par la fausse propagande liée aux génériques. N'utilisez que les VRAIS médicaments, ceux que vous avez choisis, et pas leurs génériques. La majorité sont réellement dangereux, je ne dis pas ça "en l'air", tout cela est largement développé dans le prochain article

A bientôt, et bonne guérison !

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